Comme tous les autres secteurs économiques, 𝗹𝗲𝘀 𝘀𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗺𝗼𝗱𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗯𝗲𝗮𝘂𝘁𝗲́ sont appelés à 𝘀𝗲 𝘁𝗿𝗮𝗻𝘀𝗳𝗼𝗿𝗺𝗲𝗿 pour répondre à des exigences de plus en plus fortes en matière 𝗲́𝗰𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹𝗲.
Quels sont les 𝗶𝗺𝗽𝗮𝗰𝘁𝘀 de ces secteurs ?
Depuis quelques années, les secteurs de la mode et de la beauté sont critiqués pour leurs 𝗶𝗺𝗽𝗮𝗰𝘁𝘀 𝗲́𝗰𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀, 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝘂𝘅 𝗼𝘂 𝗲𝗻𝗰𝗼𝗿𝗲 𝘀𝗮𝗻𝗶𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀.
– L’industrie de la mode génère des 𝗰𝗼𝗻𝘀𝗼𝗺𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗱𝗲 𝗿𝗲𝘀𝘀𝗼𝘂𝗿𝗰𝗲𝘀 𝘁𝗿𝗲̀𝘀 𝗶𝗺𝗽𝗼𝗿𝘁𝗮𝗻𝘁𝗲𝘀 et 𝗱𝗲𝘀 𝗽𝗼𝗹𝗹𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗱𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗲𝘀.
– En termes de conditions de travail et d’éthique, le secteur a aussi ses défis : 𝗶𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗵𝗼𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗹𝗲𝘀 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀, 𝗲́𝘁𝗵𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗮𝗻𝗶𝗺𝗮𝗹𝗲, 𝗲𝘅𝗽𝗹𝗼𝗶𝘁𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗮𝗴𝗿𝗶𝗰𝗼𝗹𝗲𝘀…
Comment 𝗿𝗲́𝗱𝘂𝗶𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗶𝗺𝗽𝗮𝗰𝘁𝘀 de la cosmétique et de la mode ?
– De plus en plus d’acteurs de la mode se tournent par exemple vers les textiles alternatifs : le coton bio remplace le coton conventionnel, le lin, parfois cultivé en France, se fait une place dans nos vestiaires, comme le chanvre, les fibres recyclées émergent…
– Dans le domaine de la beauté, c’est la même chose : les filières bio se développent pour les ingrédients des produits cosmétiques, les emballages à base de matières recyclées commencent à se généraliser.
Malgré ces initiatives, il n’existe pas de produits zéro impact ou “écologiques” pour autant.
Pour réduire ses impacts environnementaux, la mode et la cosmétique doivent 𝗿𝗲́𝗱𝘂𝗶𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗶𝗺𝗽𝗮𝗰𝘁𝘀 𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗮𝘂 𝗹𝗼𝗻𝗴 𝗱𝘂 𝗰𝘆𝗰𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝘃𝗶𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗱𝘂𝗶𝘁𝘀 : de l’approvisionnement jusqu’au recyclage, en passant par le packaging et le transport, tout en adoptant une 𝗱𝗲́𝗺𝗮𝗿𝗰𝗵𝗲 𝘃𝗶𝘀𝗮𝗻𝘁 𝗺𝗼𝗶𝗻𝘀 𝗱𝗲 𝘀𝘂𝗿𝗽𝗿𝗼𝗱𝘂𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝘀𝘂𝗿𝗰𝗼𝗻𝘀𝗼𝗺𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻.